- Cliquez sur ‘Notifier des effets indésirables’ dans la barre de navigation sur la page d’accueil (rubrique Contact).
- Vous pouvez également cliquer ici pour obtenir directement la ‘Fiche électronique‘ ou en format ‘PDF‘, qui vous permet de signaler une suspicion d’effets indésirables
- En cliquant ici vous pouvez consulter la ‘Liste‘ des médicaments portant un symbole (triangle noir) dans le Répertoire Commenté des Médicaments. Ces médicaments sont soumis à une surveillance particulière et pour ceux-ci la notification d’effets indésirables au Centre Belge de Pharmacovigilance est encouragée. Le symbole a pour objectif d’attirer l’attention dans nos publications sur des spécialités à base d’un nouveau principe actif, des nouveaux médicaments biologiques, des médicaments enregistrés sous certaines conditions ou dans des circonstances exceptionnelles, et des médicaments pour lesquels des études d’innocuité sont exigées au fabricant. Le Centre de Pharmacovigilance suit ces médicaments de près; en cas de suspicion d’effet indésirable avec ces médicaments, il est très important de le notifier, même en cas de doute quant à la relation de causalité [voir Folia de juillet 2013]. Les spécialités conservent le symbole en principe pendant 5 ans, mais ce délai peut être prolongé. Le symbole figure dans le RCP et la notice pour le public des spécialités concernées. Une liste des médicaments concernés par le symbole , mise à jour mensuellement, peut être consultée sur le site Web de l’AFMPS: www.afmps.be.
Le sigle “R/” repris au niveau des conditionnement concernés indique que la spécialité est soumise à prescription.
Certains médicaments peuvent être obtenus non seulement sur prescription, mais aussi “sur demande écrite du patient”; le cas échéant, cela est mentionné au niveau de la spécialité par le sigle “(R/)”.
A partir de janvier 2020, la prescription électronique sera obligatoire.
Certains médicaments peuvent être obtenus non seulement sur prescription, mais aussi “sur demande écrite du patient”; le cas échéant, cela est mentionné au niveau de la spécialité par le sigle “(R/)”.
- les textes des publications du CBIP (Répertoire, Folia, Bon à Savoir, Formulaire de soins aux Personnes Agées, Fiches de Transparence, modules de l’Auditorium)
- les questions liées à la pratique clinique
- les médicaments et leur fiche technique (remboursement, cadre légal, prix,…)
- les groupes DCI (Dénomination Commune Internationale)
- la disponibilité (ou l’indisponibilité) des médicaments
- les aspects techniques du site Web, y compris le Répertoire en ligne
- l’application smartphone/tablette du Répertoire pour Android et iOs
- la base de données disponible en téléchargement
- les liens vers le site Web du CBIP
Les voies d’administration et les formes pharmaceutiques sont mentionnées en fonction des données provenant du Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP). Nous utilisons les termes normalisés de l’EDQM (European Directory for the Quality of Medicines & Healthcare) ou des termes dérivés. Les termes normalisés et leur définition peuvent être consultés sur https://standardterms.edqm.eu/stw/default/index.
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Le symbole est utilisé pour (1) les spécialités qui sont toujours interdites (que ce soit dans le cadre ou non d’une compétition, et ce dans tous les sports), (2) les spécialités qui ne sont interdites que dans le cadre d’une compétition, et (3) les spécialités qui ne sont interdites que dans certains sports.
- Les sportifs d’élite sont tenus de demander de manière proactive une “Autorisation d’Usage à des fins Thérapeutiques” (AUT) lorsqu’ils doivent utiliser un tel médicament pour des raisons médicales.
- Les sportifs qui ne sont pas des sportifs d’élite peuvent soumettre préalablement une demande d’AUT, ainsi qu’après un contrôle antidopage (rétroactivement), mais si la demande est refusée, une procédure disciplinaire peut être ouverte.
- Passer le curseur sur les symboles de dopage sur le site Web pour afficher plus de détails.
- Le symbole est utilisé pour (1) les spécialités à base de codéine ou d’éthylmorphine (qui peuvent entraîner un contrôle positif pour la morphine), (2) les spécialités à base de corticostéroïdes qui ne sont pas administrées par voie orale, intraveineuse, intramusculaire ou rectale, et (3) les spécialités à base d’adrénaline en association à des anesthésiques. Ces médicaments avec le symbole ne sont pas interdits, mais peuvent toutefois entraîner un contrôle de dopage positif. Leur utilisation doit être signalée au médecin contrôleur.
- En cas de contrôle antidopage, il est préférable que les sportifs notent systématiquement sur le formulaire de contrôle antidopage tous les médicaments qu’ils ont pris durant les 7 jours précédant le contrôle.
- Pour plus de détails sur la lutte contre le dopage, nous renvoyons aux sites Web de la Communauté française (www.dopage.be) et de la Communauté flamande (www.dopinglijn.be).
Vous trouverez nos applications mobiles du Répertoire dans leur boutique en ligne respective, Google Play Store (Android) ou Apple Store (iOS), en cherchant avec le terme « CBIP ».
- Qui rédige les publications du CBIP
- Comment nous assurons le suivi de la littérature
- Comment nous évaluons les preuves
- Quelles sont les procédures de révision et de mise à jour de nos publications.
- Dans le Répertoire ne sont repris que les produits enregistrés (autorisés) comme médicaments.
- En officine, on trouve aussi des produits qui ne sont pas enregistrés comme médicaments, tels que les compléments alimentaires et les produits cosmétiques qui ont parfois le même aspect que les médicaments; ces produits ne sont pas repris dans le Répertoire.
- Les spécialités à usage hospitalier (mention U.H.)
- seul le plus petit conditionnement est mentionné sur le site Web (environnement public). Tous les conditionnements U.H. commercialisés seront prochainement repris dans les environnements hospitaliers (hôpital et ambulatoire) de notre site Web (actuellement en développement),
- les spécialités à usage hospitalier suivantes ne sont pas encore reprises dans le Répertoire:
- les produits radiopharmaceutiques
- la nutritrion parentérale
- certains gaz médicaux
- Les préparations magistrales ne sont mentionnées dans le Répertoire que lorsqu’il n’existe pas d’alternative adéquate en spécialité. Le Formulaire Thérapeutique Magistral (FTM), édité par l’AFMPS, reprend des préparations magistrales validées en matière de préparation et de stabilité, et a été choisi autant que possible comme référence.
- Une spécialité a récemment été commercialisée mais la firme ne l’a pas encore (ou trop tardivement) notifiée auprès de l’AFMPS.
Pour chaque spécialité, la composition en principes actifs est donnée en utilisant la version française de la Dénomination Commune Internationale (DCI, International Non-Proprietary Name ou INN) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), lorsque celle-ci est disponible. Une molécule peut être disponible sous forme de sel, d’ester ou d’un autre dérivé. Lorsque le dosage mentionné du médicament se rapporte à la molécule entière (p.ex. sel ou ester), la partie ajoutée est mentionnée dans le Répertoire après une virgule, p.ex. “morphine, sulfate”. Lorsque le dosage mentionné du médicament se rapporte uniquement à la composante active de la molécule, la partie ajoutée est mentionnée dans le Répertoire entre parenthèses, p.ex. “naloxone (chlorhydrate)”. L’hydratation des molécules n’est pas prise en compte.
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- seul le plus petit conditionnement est mentionné sur le site Web (environnement public). Tous les conditionnements U.H. commercialisés seront prochainement repris dans les environnements hospitaliers (hôpital, ambulatoire) de notre site Web (en développement),
- les spécialités à usage hospitalier suivantes ne sont pas encore reprises dans le Répertoire:
- les produits radiopharmaceutiques
- la nutrition parentérale
- certains gaz médicaux
Les voies buccale (bucc.), oromuqueuse (oromuq.) et gingivale (gingiv.) concernent les formes administrées dans la cavité buccale: l’administration par voie buccale vise un effet systémique, l’administration se faisant dans la cavité buccale entre les gencives et la joue, tandis que l’administration par voie oromuqueuse vise un effet local ou systémique, l’administration se faisant au niveau de la muqueuse buccale. Le terme oromuqueux est uniquement utilisé lorsque des termes plus spécifiques (tels que sublingual, gingival, buccal, …) ne sont pas d’application et qu’il ne s’agit pas d’une administration orale classique (avec déglutition). L’administration par voie gingivale vise un effet local, l’administration se faisant sur les gencives.